La nuit tombée,j'enlève mon costume de maman pour revêtir celui de conteuse
Je laisse aller pour mes deux enfants, mon imagination trotteuse
Je commence, il était une fois
Gargouille, Dramone et Faymo
Trois druides un peu idiots
Et oui, cela arrive parfois!
Ils étaient sortis de mon âme, un soir
Que je dormais profondément,
Pour visiter notre monde sans se faire voir,
De mon sommeil profitant.
Curieux, ils voulaient savoir à qui les contes,
Havres de paix fantastiques où ils vivaient,
Je livrais, sans absolument aucune honte
Tous les détails et moindres secrets.
Comment tolérer cela plus lontemps!
Quenéni! les voilà partis, à l'assaut de mon appartement;
Et les voilà come par magie,au pied du lit de mes enfants.
Ils les regardaient dormir en silence,
Quand l'un d'entre eux se mit à éternuer :
"Bougre d'idiot! tu vas les réveiller!"
Une pluie d'or soudain vole et danse,
Elle chatouilla les narines de Nicolas,
Mais l'enfant ne bouga pas
Un autre essaya de lui soulever une paupière,
Mais un balaiement de la main le renvoya par terre;
Il le toucha, lui respira les cheveux,
Quelle bande de p'tits curieux!!
Après avoir fouillé, fait le tour de leurs rêves et de leurs pensées,
Au bout du compte,ces trois petits druides un peu idiots, soulagés,
Se rendirent compte que finalement ils ne craignaient rien,
Que leur pays fantastique et mon imaginaire ne faisaient qu'un.
Il était une fois une maman, qui, le soir venant,
Se rappelait de ses livres et contes d'enfant,
Et s'endormait avant la fin bien souvent!
Je laisse aller pour mes deux enfants, mon imagination trotteuse
Je commence, il était une fois
Gargouille, Dramone et Faymo
Trois druides un peu idiots
Et oui, cela arrive parfois!
Ils étaient sortis de mon âme, un soir
Que je dormais profondément,
Pour visiter notre monde sans se faire voir,
De mon sommeil profitant.
Curieux, ils voulaient savoir à qui les contes,
Havres de paix fantastiques où ils vivaient,
Je livrais, sans absolument aucune honte
Tous les détails et moindres secrets.
Comment tolérer cela plus lontemps!
Quenéni! les voilà partis, à l'assaut de mon appartement;
Et les voilà come par magie,au pied du lit de mes enfants.
Ils les regardaient dormir en silence,
Quand l'un d'entre eux se mit à éternuer :
"Bougre d'idiot! tu vas les réveiller!"
Une pluie d'or soudain vole et danse,
Elle chatouilla les narines de Nicolas,
Mais l'enfant ne bouga pas
Un autre essaya de lui soulever une paupière,
Mais un balaiement de la main le renvoya par terre;
Il le toucha, lui respira les cheveux,
Quelle bande de p'tits curieux!!
Après avoir fouillé, fait le tour de leurs rêves et de leurs pensées,
Au bout du compte,ces trois petits druides un peu idiots, soulagés,
Se rendirent compte que finalement ils ne craignaient rien,
Que leur pays fantastique et mon imaginaire ne faisaient qu'un.
Il était une fois une maman, qui, le soir venant,
Se rappelait de ses livres et contes d'enfant,
Et s'endormait avant la fin bien souvent!